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036 Livre M.D. Berlitz Grammaire Pratique I LES VERBES, appris par la conversation 1913 |
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CONNAÎTRE et ses dérivés MÉCONNAÎTRE, |
RECONNAÎTRE. — Êtes-vous en relations avec ce monsieur? (Oui, . . . très bien.) Et votre frère? (. . . aussi.) Et vous, mesdemoiselles, fréquentez-vous Louise B.? (Non, mais ... de vue.) Cet homme parle-t-il espagnol? (Oui, . . . cette langue.) Et vous? (Non, mais . . . quand j’étais jeune.) A-t-il pu vous recommander à quelqu’un de vos juges? (Oui, . . . un.) Quand vit-il ce pays pour la première fois? (. . . en 1879.) Turenne a-t-il été un grand général? (Oui, ... à fond l’art de la guerre.) Me re-commandez-vous de cultiver l’amitié de ce monsieur? (Non, car quand . . . mieux, vous cesserez de l’estimer.) Est-ce en Amérique que vous vous êtes lié avec M. X.? (Oui, c’est à Boston que . . .) Comment votre cousin est-il ainsi abandonné dans son malheur? (Parce qu’il . . . ses amis quand il était dans la prospérité, et maintenant ce sont eux qui . . .) Cet auteur a-t-il été estimé pendant sa vie? (Non, on . . . ses talents.) Que dit l’amiral d’Estaing aux juges du tribunal révolutionnaire qui lui demandaient son nom? (Il leur dit: mon nom est assez connu; peut-être me . . . vous; mais quand vous m’aurez fait couper la tête, envoyez-la aux Anglais, ils ne . . . pas.) Comment se rend-on odieux? (En ... les services rendus.) Eh bien, vous rappelez-vous M. X.? (Oh oui! . . . maintenant, mais . . . pas d’abord.) La ma- |
ladie a-t-elle changé votre cousin? (Oui, elle l’a
tellement changé que ses amis ne . . . plus.) Cet
élève a-t-il vu sa faute? (Non, il . . . pas ses
torts.) PLAIRE et son dérivé DÉPLAIRE. — Aimez-vous ce livre-ci? (Oui, . . . assez.) Et ceux-là? (. . . moins.) Resterez-vous longtemps ici? (Non, je ne m’y . . . pas.) Pourquoi ne voulait-il plus revenir en Amérique? (Parce que Paris lui . . . beaucoup.) Furent-ils contents de leur séjour en Italie? (Oui, Venise surtout leur . . . énormément.) Et les autres villes? (. . . moins.) Avez-vous lu Virgile? (Oui, et il m’ . . .) Est-il vrai que vous ayez cessé de lire les romans d’Elie Berthet? (Oui, j’ai cessé de les lire parce que le style m’ . . ., tandis que j’aurais continué, s’il m’ . . .) Cet homme est-il fidèle à ses amis? (Oui, ceux qui lui . . . une fois lui . . . toujours.) Me conseillez-vous d’aller écouter cette comédie? (Non, elle . . .) Aimez-vous cet enfant? (Oui, . . . tout de suite.) Dans quel but désirez-vous que je lise ce roman? (Il est très bien écrit et je désire qu’il vous* . . .) Comment ce domestique a-t-il pu obtenir de si bonnes recommandations? (En ... à ses maîtres.) Que voulez-vous que je vous serve? (Ce qui vous . . .) Désirez-vous ce livre? (Oui, passez-le-moi, s’il vous . . .) Cet homme paraît-il toujours aussi ennuyé? (Oui, tout lui . . .) Cette robe vous plaît- |
elle? (Non, . . . aussitôt qu’on me l’a apportée.)
A-t-il l’habitude de porter des fleurs à sa
boutonnière? (Non, les fleurs . . .) Pourquoi lui
avez-vous répondu sur ce ton? (Parce que ses paroles .
. .) Comment les élèves s’attirent-ils des punitions?
(En ... à leurs maîtres.) Irez-vous au théâtre ce
soir? (Non, je n’irai pas, parce que si j’y allais,
cela ... à ma mère.) Ce monsieur vous fit-il une bonne
impression? (Non, . . . dès son arrivée.) SE TAIRE. — Parlez-vous à l’église, madame? (Non, . . .) Et ces demoiselles? (. . . aussi.) Et vous, messieurs? (Nous faisons comme ces demoiselles, . . .) Quand le professeur parlait, ces jeunes gens causaient-ils entre eux? (Non, . . .) Que fit l’orateur quand ce bruit éclata? Et les auditeurs? (. . . également.) Lui avez-vous répondu? (Non . . .) Ces élèves continueront-ils à parler en classe? (Oui, ils ont dit qu’ . . . pas.) Que firent la mer et les vents à la voix de Jésus-Christ? Comment montre-t-on qu’on a du tact? (En ... à propos.) Pourquoi grondez-vous cet enfant? (Parce que je veux qu’il* . . .) CROIRE. — Suivez-vous les conseils de M. X.? (Non, ... cet homme là.) Comment ai-je pu commettre cette erreur? (Parce que . . . tout ce que l’on vous dit.) Nous trompons-nous quelquefois? (Oui, quand nous ... ce qu’il ne faut |
pas . . .) Vos amis sont-ils contents du nouveau
marchand? (Non, . . . que ses articles sont trop
chers.) Pourquoi votre ami n’est-il venu qu’à dix
heures? (Parce qu’ . . . que le train arriverait plus
tôt.) Quand vous étiez plus jeunes, messieurs,
étudiiez-vous plus que maintenant? (Oui, . . . que
cela était nécessaire.) Et vos cousins? (Non, . . .,
bien à tort, que l’étude ne leur serait d’aucune
utilité.) Est-il possible que les jurés aient acquitté
ce criminel? (Oui, . . . qu’il ne recommencerait
plus.) Et vous, Pavez-vous pensé? (Non, . . . qu’il
devait être puni, et je le . . . toujours.) Votre ami
espère-t-il aller au Japon, l’été prochain? (Oui, . .
. que son père lui permettra d’y aller.) Et vos
cousines? (Non, . . . pas que leur père leur permette
ce voyage.) Et vous, mesdemoiselles? (Oui, . . .
pouvoir y aller.) Si je vous disais que Diogène était
très riche, douteriez-vous de ma parole?
(Certainement, . . . pas.) Pourquoi avez-vous loué
votre maison à cet homme, puisqu’il ne paye pas son
loyer? (Parce que . . . qu’il le payerait.) Pourquoi
fut-il si pressé de venir ici? (Parce qu’il . . .
trouver une place tout de suite.) Quelle fut l’idée de
Socrate sur la divinité ? (. . . en un seul Dieu.) Les
Athéniens partagèrent-ils son idée? (Non, . . . pas.) CROITRE. — Pourquoi ces gens paraissent-ils si désolés? (Parce que la rivière ... de |
minute en minute.) Êtes-vous satisfait de ces jeunes
arbres? (Oui, . . . très vite.) Le peuple d’Israël
était-il prospère à l’époque du roi Salomon? (Oui, ...
en nombre et en sagesse.) La canne à sucre
existe-t-elle en France? (Non, . . . pas.) Et aux
États-Unis? (Oui, ... en abondance.) De combien la
rivière a-t-elle augmenté aujourd’hui? (. . . de deux
pouces.) Ces blés vous plaisent-ils? (Non, . . . pas
assez vite.) Dans quel cas les aimeriez-vous? (S’ils .
. . plus vite.) Qu’est-ce que le Seigneur a dit aux
enfants de Noé? (. . . et multipliez.) Pourquoi
désirez-vous tant la pluie? (Parce que, s’il pleut,
mes blés ... à vue d’œil.) LIRE et ses composés RELIRE, ÉLIRE et RÉÉLIRE. — Que faites-vous en ce moment, monsieur? Et vous, mesdemoiselles? (. . . . aussi.) Vos frères aiment-ils la lecture? (Oui, . . . toujours.) Saurai-je ce qu’il veut? (Oui, si ... sa lettre.) Quand vous étiez à l’école aimiez-vous les auteurs grecs? (Non, . . . plutôt les auteurs latins.) Pourquoi grondiez-vous cet élève hier? (Parce qu’il . . . des romans, et je ne veux pas qu’il* ... de romans en, classe.) Ces jeunes gens connaissent-ils les œuvres de Paul Bourget? (Non, . . . pas encore ses ouvrages, mais . . . aussitôt qu’ils le pourront.) Aimez-vous les romanciers modernes? (Oui, il y en a que nous . . . et . . . souvent, mais il y en a |
que . . . jamais.) Qu’est-ce que le professeur vous recommande? (De . . . beaucoup.) Ces messieurs lisent-ils beaucoup? (Non, car ils n’ont pas de livres, mais s’ils en avaient . . . avec plaisir.) Pourquoi? (Parce qu’ils savent qu’on s’instruit en . . .) Êtes-vous sûr d’avoir répondu à toutes les demandes de votre sœur? (Oui, car . . . ma lettre deux fois.) Pourquoi cet élève fait-il tant de fautes? (Parce qu’ . . . pas assez ses exercices.) Dans quel cas en ferait-il moins? (S’il . . . ses exercices avec plus d’attention.) Le nouveau maire de notre ville est bien content, n’est-ce pas? (Oui, car il a été ... à une forte majorité.) Et l’ancien maire? (Il n’est pas content, car il n’a pas été . . .) Comment montre-t-on qu’on est un bon citoyen? (En . . . de bons administrateurs.) Le président des États-Unis peut-il être réélu deux fois? (Non, il ne peut-être . . . qu’une fois.) Les directeurs de cette compagnie furent-ils heureux dans le choix de leur président? (Oui, ... un excellent administrateur.) Qu’est-ce qui montra que les Américains aimaient Washington? (C’est qu’ils . . . . président des États-Unis.) |
M.D. Berlitz Grammaire Pratique I |